Les marketeurs seraient-ils fatigués, les marques seraient-elles désemparées face aux nouveaux modes de consommation ? Je constate du marketing au rabais.
Après la période de Noël, celles des soldes, les marketeurs B to C sont sollicités pour soutenir les ventes de ce mois de mars si ingrat. Promotions, opérations spéciales, ventes flash, jeu concours, …. Les vitrines dans les centres commerciaux en sont couvertes, les flyers s’accumulent sur les pare-brise et jonchent les trottoirs En un mot les vielles recettes marketing pour générer du flux en boutique, booster les ventes.
A priori sympa, surfant sur l’innovation marketing plébiscitée par les consommateurs, l’offre de récupération
Enthousiaste, je sélectionne une vingtaine de vêtements achetés chez eux la saison dernière, certains jamais portés, oubliés. On achète toujoursd trop !
Et c’est alors que je vois, écrites de plus en plus petit, les multiples restrictions
Je ne vois plus que les réticences de la marque, me sens manipulée dans ma démarche responsable alors que je culpabilisais d’accumuler. Et je renonce.
Il me reste à souhaiter aux Galeries Lafayette le succès de l’opération, et des opérations marketing dignes de ce dont elles avaient fait preuve jusque là.