Il faut sans cesse développer le parc client : conquérir de nouveaux, fidéliser les anciens, faire de la vente additionnelle. En bref attirer de nouvelles clientèles pour nos produits, créer de nouveaux produits pour les clients existants. C’est la raison d’être de tout marqueteur qui utilise tous les fronts.
– Générer du flux en boutique combien de fois ne me l’a t’on demandé avec insistance, impatience. Capter le passant, faire venir le client par des opérations promotionnelles, les vitrines et la signalétique, la géolocalisation, …
– Monter des campagnes marketing vers des cibles moins travaillées, d’adapter le discours marketing et commercial pour elles.
– Renforcer les compétences des vendeurs : coaching, formations, incentives, ….
– Développer la notoriété : publicité, réseaux sociaux, ….
Tous ces efforts et bien d’autres ne suffisent pas toujours à attirer de nouvelles clientèles. Celles qui disent ou pensent : connu, trop connu ou ce n’est pas pour moi
Nombreux sont ceux qui veulent accrocher des tableaux sur leurs murs. La plupart achète des reproductions, quelques-uns vont en salle des ventes ou à des foires aux peintres, très peu investissent dans une œuvre d’art et encore moins dans celles d’artistes contemporains.
Une galerie, c’est intimidant. Et comment parler à un artiste ? Sans compter que le prix est souvent un mystère, comment le demander ?
En passant à Strasbourg, j’ai rencontré celui qui a réussi à mettre l’art à la portée de ces nouvelles clientèles: : tableaux dans des bacs classés par taille, prix unique pour une taille quelque soit l’artiste, artistes présentés comme et parfois mieux que dans des galeries traditionnelles.
Ce n’est pas de l’art au rabais, mais le fait d’un véritable galeriste qui invente une nouvelle forme de galerie pour de nouvelles clientèles.